En bikini noir, je m'avance vers la piscine avec mon chapeau de plage en paille. Une petite touche de vent fait voler le ruban rouge qui l'entoure. Et je pars me mettre les pieds dans l'eau. Qué calor ! C'était le seul endroit avec la salle de bain, ou c'était supportable ici. Je commence à me mettre de la crème sur les épaules, et le reste de mi body, pour pas devenir rouge comme une tomate. Et sinon, qui va me rejoindre ? En tout cas, l'air est respirable ici. Près de l'eau. On n'étouffe pas trop.

Sabrina avait trop chaud, l'air était irrespirable dans cette maison, et le soleil tapait vraiment fort. Elle prit la décision de mettre son bikini rose fluo qui faisait ressortir son bronzage, ses lunettes de soleil, et direction la piscine pour se rafraîchir un peu. Quand elle arriva au bord de l'eau elle vit Fanny qui était déjà dedans, sur le coup elle ne voulait pas la voir, puis elle se dit que c'était le moment d'avoir une discussion sérieuse avec elle. Elle s'approcha d'elle quitte a se faire repousser. Fanny, j'aimerai avec une discussion sérieuse avec toi, parce que j'en ai vraiment ras le bol que tout le monde pense comme toi maintenant !

Le soleil me fait mal aux yeux, et je tourne la tête. Et je vois un bikini rose, qui me bousille tout autant mes yeux bleus. Je fronce les sourcils, puis je baisse un peu le regard pour éviter de rester aveugle. Elle s'approche, je finis par tourner la tête, en fermant les yeux. M'attendant à une odeur horrible, je ne sentais rien de particulier. Et puis le vent qui fait flotter mes cheveux, peut-être qu'il balaye tout ça. Allez savoir. - Sabrina... Dis-je aussitôt qu'elle prononce mon prénom. J'agite mes pieds dans l'eau, et mes yeux se fondent dans l'eau de la piscine, songeuse. - Je t'écoute...

Fanny accepta d'avoir une conversation avec Sabrina, alors la jeune femme prit la paroles la première. Tu penses être aller un peu fort avec cette histoire, ou plutôt ces préjugés sur les odeurs des gitans ? J'ai juste les trois quart de la maison qui me font subir des moqueries tous les jours, et tout ça a commencé par toi quand même dit-elle sincèrement, en la regardant et attendant sa réponse.

Elle me parle de l'odeur, ça m'étonne vraiment. De quoi pourrait-elle me dire d'autres de toute façon ? Je regarde mes pieds qui gigote dans l'eau, puis je lui réponds, très sincèrement. - Ca sentait mauvais. Je sais pas si c'est toi particulièrement, ou quelque chose qui était proche de toi. Mais sache que je n'ai rien dis aux autres. Après tout, s'ils trouvent qu'elle sent mauvais, elle aussi. C'est pas de ma faute. Et rien à voir avec sa gitanerie. J'ai jamais rien dis sur ça moi. - Mais là, je sent rien. Donc, pour moi c'est comme si c'était oublié. Pas de mauvaise odeur, tout va bien !

Elle avait juste jeter son vaporisateur sur Sabrina, elle lui disant que c'était elle qui sentait mauvais et la elle retourner les choses Sabrina l'écoutait avant de répondre. Tu m'as juste jeter ton vaporisateur sur moi je te rappel, et que c'est quand même toi qui as commencé avec cette histoire et les autres ton suivi, donc le début de tout vient quand même de toi. Ensuite elle dit qu'elle ne sentait rien la et que c'était oublié pour elle, mais pas pour Sabrina, car les autres n'était apparemment pas du même avis et cela l'avait vraiment blesser et humiliée devant toute la France. Saches quand même que j'ai été humiliée devant toute la France pour ce préjugés débile.

Je manque de sourire, voir plus exactement de rire. A y repenser, c'est plutôt drôle. D'ailleurs, même elle rigolait. Une fois qu'elle a finit de donner sa version dramatique, je donne ma version plus légère. - Le jeter sur le sol, excuse moi. C'est pas sur toi. A moins qu'elle se sente corps et âme unit avec le sol. Ensuite, elle me dit que c'est moi qui en est parlée, et que tout le monde a suivit. Je suis pas la bergère tatouée de la maison, hein. - S'ils m'ont suivit, c'est bien que tu sentais mauvais non ? C'est quand même pas tous des moutons ici. Dis-je d'un air un peu sarcastique. Enfin bref. Elle me dit qu'elle a été humiliée, je lui réponds spontanément, en continuant de regarder l'eau. - Je suis désolé que ton shampoing sente si mauvais, ou que tu ne t'es tout simplement pas lavée Sabrina.En tout cas, le problème de l'odeur semble s'être arrangé.  Je tourne la tête, et lui fait un petit sourire en coin. Tu prends tout ça trop au sérieux, mais il faudrait surtout assumer tes erreurs, je pense.

Le jeune femme continuait d'approuvé ce qu'elle avait dit auparavant, n'importe quoi ! Elle disait ensuite que si tous les autres ont suivi c'est bien que Sabrina sentait mauvais, et que c'était pas tous des moutons, puis elle disait que le problème semblait être arrangé. Bah excuse moi de te dire que si, parce que si ce que tu as dis était vraiment vrai, je ne serai pas Secret Story déjà et tous les candidats sans exception penserai la même chose, puis cette histoire de merguez était débile dès que ça sent mauvais c'est directement moi. Et puis tu penses qu'il est arrangé, les autres non je peux te le dire. Ils ne pouvaient pas savoir à quel point c'était blessant, mais la roue tourne !!

Elle renit toujours, je peux le comprendre. C'est très embarrassant, et je la regarde, touchée par le récit de ses aventures. Je suis très ouverte d'esprit, Sabrina. Je te comprends. Mais une odeur ne trompe pas. J'ai le nez sensible, je m'en rends compte très vite. - Tu sais. On est humain, ça arrive de se sentir mauvais. C'est pas grave, tu sais. Puis c'est pas comme si c'était comme ça tous les jours. Aujourd'hui, je trouve que ça va. Tu t'es améliorée. Je lui dévoile mon sourire. Puis c'est vrai que l'histoire de Merguez, n'a pas été drôle. Ca puait à mort. - Oui l'histoire de la merguez, c'était ridicule, et surtout, ça sentait horriblement mauvais. Mais je n'en suis pas l'autrice. Dis-je d'un air remplit de peine.

La jeune femme continuait de dire que Sabrina avait sentit mauvais, c'est pas grave, elle pense ce qu'elle veut après tout ça aurait pu très bien être n'importe qui, mais c'était tombé sur Sabrina. Le jeune femme disait ensuite que aujourd'hui ça sentait pas, hum c'était bien n'importe cette histoire. Enfin bref pour conclure votre histoire sur moi été vraiment débile, limite au début je me suis demandé si c'était pas un coup monté contre moi quoi ! Puis la jeune femme avoua que l'histoire de la merguez été ridicule et que ça sentait vraiment mauvais, elle avait pas tort en ce qui concernait l'odeur. Surtout que ce jour là vous étiez je ne sais combien sur moi. Et t'inquiète je sais que tu n'étais pas à l'origine de cette histoire, mais le Jonathan complètement débile lui.

Elle me parle d'histoire, de coup monté. Alors que j'en ai parlé à personne en particulier. L'épisode d'avant, c'était seulement entre moi et elle, simplement. - Pas du tout. J'étais vraiment sérieuse. J'allais pas me sauver si y'avait pas un problème d'odeur. Et puis, tu pourras le voir à l’extérieur. J'en ai parlée à personne. Non je ne suis pas bête, et rien à avoir avec le fait qu'elle soit gitane. - Non mais Jonathan, c'est un cas ce type. Soit il est macho, soit il est sympa. Carrément l'opposé d'un jour à l'autre. Tapons sur Jonathan pour se faire bien voir.

Ce n'était pas un coup monté, mais on aurait pu le croire, ou une mission, enfin bref. Je te crois pas de problème ! répond-t-elle en souriant, puis la jeune femme continua sur ce que Sabrina avait dit auparavant sur Jonathan. Nan mais lui il est là pour faire le buzz, il s'est fait détester par tout le monde, et maintenant il essaye de se faire des amis en créeant une histoire aussi débile que lui ! Sabrina était vraiment énervée contre lui, entre Jonathan et Sabrina ça n'allait pas collé c'est sûr, elle allait le remettre a sa place direct.

Je souris, satisfaite qu'elle me croit. Et puis bon débarra, on va pas passer l'aventure sur le passé. Y'a tellement mieux à faire, maintenant, comme profiter du bon temps, et attendre d'être en final pour se baigner dans le cash. La belle vie. Ensuite on reparle de l'homme aux sac poubelles. - Tu m'étonnes. T'as vu quand il a tapé Julien avec ses sac? c'était trop drôle. Dis-je avec un sourire en coin. Et puis, comme il est partit en insultant tout le monde. Dieu qu'il est fou. - Heureusement que la production est cool. L'année dernière, ça aurait été sûrement le droit de partir d'ici, et en vitesse.  

Sabrina était contente d'avoir eu une conversation avec Fanny, elle se détendait dans l'eau tout en continuant de parler avec elle. Les deux jeunes femmes reviennent que le sujet de 'autre débile avec ses sacs. J'ai vu il est vraiment pas mettre ou il a un problème ? Je pense qu'il faudrait mettre un psychologue spécialement pour lui ici ! Et puis la prod aurait du le jeter comme un mal propre quoi ! Sabrina ne supportait vraiment pas les personne de son genre. Y'a quelqu'un qui l'aime lui ?