Gabriel était dans la salle à manger en train de regarder dans le frigo qu'est-ce qu'il pourrait bien grignoter. Ce dernier avait déjà été bien entamé, il ne viserait personne mais il avait remarqué que quelques filles en particulier avaient déjà fait amies-amies avec l'électro-ménager dès le premier prime. Typique, encore des filles qui vont prendre dix kilos dans l'aventure parce qu'elle pensent que si elles grossissent assez elles ne passeront plus dans le SAS. Quelle technique débile je vous jure. Il sortit de quoi se faire un petit sandwich sympa et commença à se le préparer.

Gabriel avait terminé son sandwich, il s'apprêtait à le porter à sa bouche lorsqu'il fût interrompu par Vincent. Il le regarda quelques instants sans rien dire avant de lâcher d'une évidence plus que certaine. "Bah ... mange !" Il croqua ensuite un bon coup dans son sandwich.

Gabriel continue de manger son sandwich tranquillement lorsque Vincent commence à continuer leur conversation. Lui qui pensait pouvoir prendre des kilos tranquille c'était raté. Bref, il finit sa bouchée - oui car parler la bouche pleine c'est malpoli et surtout bien crade - avant de lui répondre. "Impec' et toi ?"

Gabriel regarda Vincent s'installer. "Ouais ? Je trouve que pour le moment ça va, à part pour quelques personnes bien sûr ..." Jonathan et Sabrina qui étaient un peu les victimes préférées des habitants, sinon le reste se portait bien. "Enfin, j'ai peut être de la chance d'être dans une équipe plutôt "présente", tu es dans laquelle toi ?"

Gabriel le regarda. "Et c'est comment dormir avec Sabrina ? J'ai entendu dire qu'elle et l'hygiène, c'était pas vraiment ça !" Comment ça que des rumeurs ? Autant vérifier non ? "En même temps quand t'as quelqu'un comme Isabella dans ton équipe qui joue les plantes vertes, je comprend. On a le même problème avec Gautier, le mec sert de décoration dans la chambre. On le place debout dans le coin et il nous sert de poteau." Il rit légèrement avant de croquer une nouvelle fois dans son sandwich. "Mais bon Fanny, Jonathan, Florine ... ça rattrape le truc !"