Nouvelle journée dans la maison, lendemain de prime part la même occasion, alors que la plupart des habitants étaient levés un seul était toujours en train de faire la marmotte sous la couette : Sacha. Vu que la veille il m'avait proposer de m'épiler, j'avais envie de me venger un peu. J'entre tout doucement dans la chambre en repérant ou il était puis alla danser dessus au son de la musique que la Voix avait mis, « Allez réveille toi ! Martin veux te faire un bisou » je disais ça pour le secouer un peu ce flemmard sa le fera peut être réagir.

Sacha traînait de la patte aujourd'hui. Le prime de la veille avait été fort en émotion entre les nouveaux bizarres qui étaient arrivés et les différents départs. Quoique non les deux départs il en avait eu absolument rien à battre. Il était resté debout toute la nuit afin de célébrer le retour de son Martin avant de pouvoir enfin se jeter dans les bras de Morphée. Mais la câlin avec la nymphe fût de très courte durée puisque qu'une morue vint sauter sur lui en dansant et en disant quelque chose à propos de Martin, il n'avait pas très bien entendu un peu dans le coaltar. "Non mais toi, ma vengeance sera terrible.", marmonna-t'il avant de se lever. L'appel du déhanché d'Elodie et de la musique était beaucoup trop fort ... il ne pouvait résisté ... du coup le voilà qui danse avec la morue sur son lit, comme un taré avec sa magnifique tronche du matin.

Ma mission était réussie, je voulais embêter Sacha et c'était chose faite, bien sur Martin n'était pas là, il préférais surement avoir Benoit la blondasse . « Comment tu est trop mignon quand tu te réveil, cela ferais fuir les corbeaux bebbey. » je dansais toujours sur le lit de la vermine tout en montrant mon beau déhanchement. Je ne sais pas si les ressorts allaient tenir, mais bon tant pis il pourra dormir dehors il y avait largement la place.

C'est bas, c'est très bas de dire que Martin préfère aller avec Benoît je m'en vais pleurer en position fœtale sous mon lit. "Au moins j'ai seulement une tronche à faire peur aux oiseaux au réveil beybey." De rien c'était gratuit. Il continuait de se déhancher au rythme de la musique en donnant quelques petits coups de popotins à Elodie au passage.

Je dansais toujours sur le lit de Sacha pour bien l'embêter encore un peu puis m'arrêta, après ce qu'il me disais, trop de compliment en lui fallait qu'il s'arrête c'était pas sont habitude au petit, oui oui bien sur c'était ironique. « Nous sommes deux alors, bon allez lève toi crapaud tu va pas déprimer pendant 3 mois si ta pas de chance avec Martin » je me lève du lit tout en retirant la couette qui recouvrait le jeune homme.

Sacha se laisse tomber assis sur le lit en tirant la moue. Elle était mauvaise de lui sortir ça l'Elodie quand même. "Non mais s'il préfère les morues à la Benoît plutôt que moi c'est son problème. C'est juste dommage pour lui qu'il ai de si mauvais goûts." Ouais, ouais ça transpire l'humilité je sais, c'est beau. Sacha passe sa main dans ses cheveux en la regardant. "Et toi alors qui ici fais vibrer ta petite culotte, à part le jacuzzi bien entendu !"

Je m'assoie correctement sur le lit de Sacha tout en l'écoutant pestiférer, il déprimais de cette relation interdite avec Martin, mais c'est qu'il avait envie que quelqu'un le secoue le petit. « Il y a vraiment à se mettre sous la dent dans cette maison, et encore moins avec les deux nouveaux » je faisais référence à Geoffrey et Zelko qui venaient d'entrer dans la maison lors du prime.

Elodie ne trouvait pas chaussure à son pieds dans cette maison. C'est vrai qu'à part Martin, personne n'arrivait à titiller le pantalon de Sacha. La prod n'avait vraiment pas basé le casting sur le physique cette année : que des thons et des morues, on se croirait dans le Grand Bleu. "Hum les deux nouveaux, ils sont tellement sexy que j'ai failli craquer ma culotte lors du prime. Heureusement qu'on n'en portait pas hein !" Petit clin d’œil qui va bien dans cette situation. "Non mais le Geoffrey on sait pas, si ça se trouve si tu lui rases sa barbe il est baisable. Que la Zelko avec ou sans barbe il reste vilaine lui." Mauvaise ? Non mais vous avez vu la tronche de Zelko un peu ? Sacha allait en faire des cauchemars pendant des semaines.

Sacha me déclara ce qu'il pensait physiquement de Zelko et Geoffrey les deux nouveaux garçons fraichement rentrés dans la maison, c'est vrais qu'ils avaient tout les deux un physique très spécial. « Non mais Geoffrey est hideux, même sans sa barbe, en même temps c'est un roux. » je ris suite à mes propos, c'est vrai que nous étions de grosses vermines quand même tous les deux.

Oh donc la Emilie était poildecaroote-o-phobe. Pas bien. "En plus je sais pas si t'as remarqué mais il avait l'odeur qui allait avec !" Bon ok peut être que Sacha l'était aussi ... Légèrement ... Juste un peu. "Et le Zelko là, il me fait vraiment trop peur ! Franchement j'ai pas envie de me retrouver seul dans une pièce avec lui, j'ai pas envie de mourir, je suis trop belle pour mourir.", lança-t'il en se laissant basculé en arrière, explosant de rire et en cachant son visage avec son oreiller.

Il me donnais envie de vomir avec les propos qu'il avait, c'était drôle mais assez dégueulasse à imaginer « La production nous a mis des mecs au physique de chez Liddl  » Le pauvre il semblais terroriser de se retrouver tout seul sans défense dans une pièce avec Zelko ou Geoffrey, bon c'était compréhensible.

Sacha ne pu s'empêcher de rire au mot Liddl. Oui ça lui rappelait l'autre boloss de la saison précédente, c'était quoi son nom déjà ? "Liddl c'est censé être de la bonne qualité à petit prix ... Non là c'est plus genre les Restos du Coeur tu vois. Les restes que personne ne veut mais que tu prends quand même quant tu as la dalle." Nul doute que cette blague allait faire bonne effet à la télévision française tiens.

Les Restos du Cœurs ? Mais il était cruel en faite la petite vermine, quoi que il n'avait pas tord, les pauvres s'ils nous entendaient. « Non mais c'est du bas de gamme ce genre de mec, même si j'avais la dalle je les toucheraient pas. » Attend je pourrais craquer pour un mec mais il y avait des limites tout de même.