Il est grand temps de découvrir ma chambre ! Les candidats s'étaient un peu éparpillés dans le salon, chacun se séparant à chaque recoin. Rapidement, je me retrouvais seule. Comme je ne voulais imposer à personne une visite de la maison, je décidais de partir à l'aventure seule. Très vite, je trouvais la chambre eau, ma chambre. " Qu'est-ce qu'elle est belle ! " que je m'enthousiasme en voyant la chambre auprès de Sabrina, déja dans la chambre. Je sais bien que j'ai l'air niaise à m'émerveiller pour tout ici mais c'est plis fort que moi, j'ai pas l'habitude de voir d'aussi belles choses !

Je continuais d'observer la chambre quand un élément en particulier attira mon attention. Je restais bloquée quelques secondes avant de sourire en grand et de pousser un léger cri enthousiaste. " Un lit à eau ! " Telle une enfant, je ne pus m'empêcher de courir et de me laisser tomber sur ce lit. C'était marrant. " J'espère que ce lit n'est à persone, il est trop bien ! Essaie-le Sabrina ! " proposais-je en lui souriant.

Je fis une petite moue lorsqu'elle m'annonça que ce lit appartenait à Anaïs. " Dommage ! " fis-je finalement en reprenant mon sourire. Bon, c'est pas la mort non plus. " J'espère qu'il va y avoir une bonne ambiance entre nous dans la chambre. Alors il y a toi, Anaïs, Jamel, Jonathan et moi... " que j'énonce en me rappelant la liste de la Voix. Si ma mémoire est bonne, c'est ça.

" Oh non c'est pas grave. Elle était la avant moi donc si elle l'avait déjà avant y a pas de raison qu'elle change ! " que je fais en souriant. Je venais tout juste d'arriver alors j'allais pas faire des caprices. C'était pas mon genre. Puis lorsque je parle de l'ambiance, Sabrina me donne tout de suite la xouleur et mon sourire disparait aussitôt. " Ah bon, pourquoi ? "

Je fronçais les sourcils, un peu perdu. Elle n'était pas aimée dans la maison et la raison, parce qu'elle puait ? Je me mis à rire, en pensant que c'était une blague. Si elle puait, je l'aurais senti quand même. Mais rapidement, je comprends qu'elle ne plaisante pas. Je pose ma main sur son bras, comme signe de soutien et de réconfort et je tente un peu d'humour. " T'inquiètes pas, ils ont trouvé de nouvelles têtes de turcs maintenant qu'on est arrivé, ils vont te laisser. " C'était l'idéal de s'en prendre à des nouveaux, je suppose. En tout cas, elle semble vraiment fatiguée. J'ai de la peine, et je ne comprends pas. Comment on peut agir de la sorte ? En tout cas, je ne comptais pas m'éloigner d'elle parce que ça allait être mal vue de la part de la majorité, tans pis.